Et la vie va. Entre les griffes de rapaces elle

Et la vie va. Entre les griffes de rapaces elle ne sut que faire. Hurler à la mort mais personne ne l'entendais. Capturée par de sordides âmes en rut, elle ne l'oubliais pas, à étouffer, étouffer entre ces murs de béton et d'acier, sales et interminables. La couleur des lendemains change, un peu moins sûre d'elle, mais un peu plus solide, se retrouver peu à peu en évitant le carnage, Et puis. Les mots un peu cafouillage ce soir, se retrouver ici aussi, se réaproprier des niches, des espaces d'expression, aprés la rage au goût amer baillonnée, contenue...qu'importe. Le cul entre deux chaises, sans avoir le choix d'accepter et de prendre le temps, résignée. Le recul viendra avec le temps et, Le regard en paix, Petite deviendra grande.